C’est ouf

 

Le concert événement au Palais Omnisport du Centre Culturel Mendes France de Niort du 18 avril prochain arrive a grand pas.

Votre fidèle reporter a donc décidé de passer la seconde en allant enquêter une fois n'est pas coutume sur un autre groupe que les Electric Beans : Tête de Ouf. Car quelle étrangeté s'il en est que d'imaginer que l'on ose partager la scène avec nos Beans sans redouter ni la honte, ni la peur... Avons-nous à faire à une nouvelle manifestation de la folie ?

Que nenni. C'est en 1997, après un conseil des ministres arrosé, que Pascal P., alors secrétaire d'état à l'éducation nationale en charge de la promotion de la rime et de la ritournelle, décide de donner une nouvelle dimension à sa carrière. Il quitte les bancs de l'assemblée pour les planches. Il crée Tête de Ouf.

Mais pour tracer sa route, chemin faisant, il glane deci-dela plusieurs têtes supplémentaires pour l'album de famille : un batteur choriste, un guitariste bondissant, une trompettiste souriante, un tuba accordéoniste, et un guitariste à la bière tendre.

Au gré de mes pérégrinations, nombreux sont les points communs trouvés entre les croyances de Tête de Ouf et les préceptes des Electric Beans :

- Un groupe de rock sans amitié c'est comme une pinte sans mousse : ça manque de saveur
- Un concert qui n'est pas festif... ne mérite pas d'être joué
- L'amour du verbe francophone et si possible de celui qui pique ou fait sourire
- La certitude qu'une guitare sans ampli c'est comme un saxophoniste sans poumon

Dès lors, on comprend mieux pourquoi le cocktail de ces six Ouf et de ces quatre Beans risque d'être explosif.

Heckle Freux

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