Hier j'ai fait ce que d'aucuns qualifieraient d'une pause théologique à des fins d'étude bibliographico-littéraire. En clair, j'ai pris une journée pour analyser un texte.
Si, je l'ai fait. Et sans hésiter.
D'ailleurs avais-je le choix ? Lorsqu'un texte des Beans vient sur mon bureau pour la première fois je suis comme Moïse recevant une nouvelle table de la loi en Chronopost. Donc forcément lorsque celui ci s'est posé sur mon mobilier, il n'a pas fait exception.
Ensuite parce que, pour ne rien vous cacher... à la première lecture ... j'ai rien compris.
Oh bien sûr une telle faiblesse me rend sans doute plus humain à vos yeux, mais telle n'est pas ma volonté. D'ailleurs je dois préciser : bien sûr que j'ai compris le texte, je parle français, merci. Il s'agit d'un jeune homme de 18 ans qui traduit des chansons de Maïden en cours d'anglais...
Mais je n'ai pas compris comment une petite fable de base comme celle ci, une fablounette, pouvait finir en morceau Beans. Quand on connaît la propension du Beans à mêler iconographie, sociologie, et fée du logis... on se méfie. Donc ce texte, au demeurant si simple et basique... et bien je l'ai pris comme un message crypté des Dieux du Metal.. Oui une fois de plus Saint Dio m'est apparu.
Et en vérité je vous le dis mes bien chers frères, De Retour en noir, le dernier morceau des Electric Beans, révélé prochainement lors de la grand'messe du 18 avril prochain, n'est pas une poésie, c'est une ôde à la gloire du Metal.
Pas moins de vingt deux références à la religion Hard Rock se sont insérées dans ce pamphlet. Chacune d'entre elle est la révérence de quatre fans devant leurs idôles.
Saurez vous les trouvez toutes ?
Pas de doute, avec ce deuxième album les Electric Beans seront de retour... en noir.
Heckle Freux - Analyste Linguistique