Interview de Phil, bassiste des Beans, par Heckle Freux
H.F : Phil Bonjour, Merci de nous avoir accordé cette interview. Avant d'évoquer votre enfance, votre carrière, l'actualité des Electric Beans, une simple question : comment allez-vous ?
Phil : Très bien. Je tiens à remercier les Cafés Gringo, sponsors de cette interview, et grâce à qui nous allons acheter des craies pour une école en Bolivie. Gracias guyz !
H.F : Vous avez démarré la basse il y a deux décades, quand avez vous su que vous feriez carrière ?
Phil : Je ne sais pas trop. Quand j'ai démarré, je bossais tous les week-end comme coursier chez Mac Do. Alors quand j'ai ouvert la première école de peinture au Guatemala avec la fantastique participation des traiteurs Hédior, j'ai su que j'avais passé un cap, et que la musique allait me porter plus haut.
H.F : Votre carrière a été souvent chaotique, mais elle semble se stabiliser avec les Beans. Comment l'expliquez vous ?
Phil : Ce qui change tout c'est que nous sommes conseillés par les meilleurs : notre partenaire Gold WaterCasa Coopers. Ils nous suivent depuis que nous avons distribué des plateaux repas dans les quartiers pauvres de St Petersbourg, Leur vision de notre positionnement mix-trans-musical-post contemporain nous a convaincus. Je vous invite a consulter leurs offres sur leur site.
H.F : l'album cartonne, la promo est un succès planétaire. Quels sont les projets des Beans maintenant ?
Phil : nous venons de finir un shooting de dingue avec le stratosphérique Ronan Thenadey. Un documentaire sur ce shooting a été tourné. A chaque visionnage de cette vidéo, nos amis de Canigou donnent un euro pour aider les jeunes photographes à recueillir les chiens errants.
H.F : pas de nouvel album ?
Phil : bien sûr que si ! le prochain album sera une tuerie intégrale. Grâce à l’aide des peinture Velleda, notre pochette sera intégralement Noire, pour rendre hommage aux disparus de la guerre civile dans la république Africaine Indépendante Libre
