Ils étaient 3000 selon Thibaut du Vintage, 12000 selon Toni du Chamboul’tout, 1501 selon Friben’z, 1499 selon la police et 2 selon Ludo… La fête de la musique de Niort, pour laquelle Les Electric Beans representaient la scène Heavy Metal Post Traumatologique, a été un formidable succès au point que nombre de festivaliers du Hellfest, comme Ozh ou The Cap’ avait finalement choisi de venir écouter des Beans fringuants en lieu et place d’un Aerosmith vieillissant.
Et ceux qui ont fait ce choix ne furent pas déçus puisqu’ils ont eu le droit à trois morceaux du deuxième album : « Notre chanson » « Jeudi » et « Mœurs Cathodiques ». On les connait nos Beans, l’important est de travailler les créations en live, de les faire vivre, et ensuite seulement de les coucher sur CD ou Vinyle. La totalité des textes de ces morceaux sera bientôt en ligne (oui, je me dépêche !), y compris celui de la petite dernière : « Jack »
Le 2ème album est donc en préparation, mais ça nous fait une belle jambe : ON A TOUJOURS PAS LE 1er !!!!
Justement, à ce propos, votre fidèle affidé s’est entiché d’une quête policière des plus difficiles et a ainsi pu rassembler un faisceau de présomption qui confine à la théorie.
L’album des Electric Beans va sortir en septembre.
Son titre : « Sobres et en Sourdine ».
C’est bien sûr GIB, le nouveau Andy Wharrol, qui a été chargé de magnifier la musique par son art pictural.
Si certains murmurent que l’album sera en vente sur Radiometal.com, en échange d’un droit de diffusion de « What the Hell », la plus grosse information vient d’ailleurs. Et là il ne s’agit pas d’une rumeur.
Les Electric Beans ont signé un accord de partenariat pour la promotion de l’album avec Dooweet.org, sans aucun doute aujourd’hui le plus gros label de Heavy Metal Post Traumatologique au monde.
Pour réussir à signer les Beans, et se libérer du temps, le CEO de Dooweet, John SUZA, à refuser Moonspell, Sick of It All, et Dimmu Borgir.
« Je me suis réveillé un matin, j’avais fait un rêve violet : des disques des Beans pleuvaient partout, de Cognac au ferrailleur… »
On ne suit pas toujours le raisonnement de John, mais à coup sûr nos Beans ont mis tous les atouts de leur côté.
Nous partons donc sur la Côte d’Azur impatients de revenir, d’acheter le disque, de découvrir les critiques jalouses ou émerveillées sur l’opus Un des Beans.
Passez un bon été : sortez couverts.
Heckle Freux - touriste